Handishow

Le cyclisme Handisport

ENSEMBLE CHANGEONS LES CHOSES, SANS DIFFÉRENCES

Le handi cyclisme en quelques mots

Le cyclisme handisport existe en France depuis près de quarante ans en solo pour les handicapés physiques, et depuis une trentaine d’années en tandem pour les déficients visuels. A la fin des années 90, une pratique du cyclisme adaptée pour les personnes en fauteuil roulant apparaît : le handbike. Les personnes atteintes d’hémiplégie, les IMC peuvent également pratiquer l’activité en tricycle.

Les adaptations par rapport au cyclisme valide

Par rapport à l’athlétisme valide, quelques adaptations sont nécessaires pour permettre l’accès à ce sport au plus grand nombre. Elles concernent principalement : les vélos, qui sont différents afin de s’adapter au mieux au handicap de chacun.

Cyclisme handisport, nos athlètes

Florian Jouanny

handbike

Florian Jouanny, né le 2 février 1992 à Échirolles. Il a eu un accident de ski qui l’a touché aux cervicales, en 2011, le rendant tétraplégique. Il se tourne vers le cyclisme en handbike et devient le plus rapide tétraplégique européen à terminer un Ironman.

Armand Thoinet

Armand Thoinet est un jeune homme de 25 ans atteint de sclérose en plaques depuis l’âge de 19 ans. Après avoir traversé une période difficile, il a retrouvé une vie épanouie grâce au sport. Depuis 3 ans, il relève des défis sportifs de plus en plus ambitieux pour se dépasser, sortir de sa zone de confort et inspirer les autres.

Handi cyclisme, les différents types de pratique

assis

Tout sportif en capacité d’utiliser ses jambes pour pédaler, avec ou sans prothèses

allongé

Tout sportif dont la déficience physique, ne lui permet pas d’utiliser ses jambes pour pédaler

Le handi cyclisme est accessible à tous types de handicaps : paraplégiques, tétraplégiques, amputés, infirmes moteurs cérébraux (IMC), non voyants et mal voyants, personnes atteintes d’un handicap physique entraînant une perte fonctionnelle.

Handi bike, quels besoins ?

Les sportifs handis ont souvent besoin de soutien afin d’acheter du matériel (protections, prothèses, …) et des tenues d’entraînements, de participer aux frais d’inscription à des compétions, de financer leurs déplacements et ceux de leurs accompagnateurs, de pouvoir s’entourer d’une équipe adaptée (entraineur, kinésithérapeute ou encore sophrologue), de suivre des stage de perfectionnement, …